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9bcd7872
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9bcd7872
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May 18, 2024
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Claude Meny
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9bcd7872
...
...
@@ -25,5 +25,667 @@ lessons:
#### Dynamique du point matériel
*Première loi de Newton, définition et existence des référentiels galiléens*
Observé depuis un référentiel galiléen $
`\mathscr{R}_{gal}`
$, le mouvement d'un point matériel isolé
est rectiligne et uniforme.
$
`\Longrightarrow\quad\overrightarrow{\mathscr{v}}=\overrightarrow{cst}`
$
$
`\Longrightarrow\quad\overrightarrow{a}=\dfrac{d\overrightarrow{\mathscr{v}}}{dt}=\overrightarrow{0}`
$
*Transformations de Galilée*
:
Transformation des coordonnées d'espace et de temps entre un référentiel galiléen
$
`\mathscr{R}_{gal}`
$ et un référentiel $
`\mathscr{R}'`
$ en mouvement de translation
rectiligne et uniforme à la vitesse
$
`\overrightarrow{V}_{\mathscr{R}'/\mathscr{R}_{gal}}=\overrightarrow{V}`
$ par rapport
à $
`\mathscr{R}_{gal}`
$.
Référentiel $
`\mathscr{R}_{gal}=\big(O,\,\overrightarrow{e_x},\,\overrightarrow{e_y},\,\overrightarrow{e_z},\,t \big)`
$
Référentiel $
`\mathscr{R'}=\big(O',\,\overrightarrow{e_x}',\,\overrightarrow{e_y}',\,\overrightarrow{e_z}',\,t' \big)`
$
Temps universel $
`\Longrightarrow`
$ nous pouvons choisir une même origine des dates
et une même unité de temps
pour $
`\mathscr{R}_{gal}`
$ et $
`\mathscr{R}'`
$$
`\quad\Longrightarrow t=t'`
$
Espace universel, homogène et isotrope $
`\Longrightarrow`
$ nous pouvons choisir :
\-
une même origine de l'espace à l'origine des dates
et une même unité de longueur pour $
`\mathscr{R}`
$ et $
`\mathscr{R}'`
$
$
`\quad\Longrightarrow O(t=0)=O'(t=0)`
$
\-
une même base cartésienne pour $
`\mathscr{R_{gal}}`
$ et $
`\mathscr{R}'`
$
$
`\quad\Longrightarrow`
$
$
`\quad\overrightarrow{e_x}=\overrightarrow{e_x}'\quad,\quad
\overrightarrow{e_y}=\overrightarrow{e_y}'\quad,\quad
\overrightarrow{e_z}=\overrightarrow{e_z}'`
$.
Si $
`\overrightarrow{V}=V_x\cdot\overrightarrow{e_x}
+V_y\cdot\overrightarrow{e_y}+V_z\cdot\overrightarrow{e_z}`
$
et point $
`M`
$ de coordonnées $
`\big(\,x(t)\,,\,y(t)\,,\,z(t)\,\big)`
$
$
`\overrightarrow{OM}(t)=\overrightarrow{r}(t)\quad\text{et}\quad
\overrightarrow{O'M}(t')=\overrightarrow{r'}(t')`
$
alors
Loi de transformation galiléenne des positions :
$
`\mathbf{\Big\{}\;dt' = dt`
$
$
`\left\{\begin{array}{l}
x'(t)=x(t)-V_x\,t \\
y'(t)=y(t)-V_y\,t \\
z'(t)=z(t)-V_z\,t
\end{array}\right.`
$
soit en écriture vectorielle (plus générale car indépendante des systèmes de coordonnées)
$
`\overrightarrow{r}'=\overrightarrow{r}-\overrightarrow{V}\,t`
$
Loi de transformation galiléenne des vitesses :
$
`\mathbf{\Big\{}\;dt' = dt`
$
$
`\left\{\begin{array}{l}
\dfrac{dx'}{dt'}=\dfrac{dx}{dt}-V_x \\
\dfrac{dy'}{dt'}=\dfrac{dy}{dt}-V_y \\
\dfrac{dz'}{dt'}=\dfrac{dz}{dt}-V_z
\end{array}\right.`
$
$
`\quad\Longrightarrow\quad
\left\{\begin{array}{l}
\mathscr{v}_x'=\mathscr{v}_x-V_x \\
\mathscr{v}_y'=\mathscr{v}_y-V_y \\
\mathscr{v}_z'=\mathscr{v}_z-V_z
\end{array}\right.`
$
soit en écriture vectorielle
$
`\overrightarrow{\mathscr{v}}'=\overrightarrow{\mathscr{v}}-\overrightarrow{V}`
$
Loi de transformation galiléenne des accélérations :
$
`\left\{\begin{array}{l}
\dfrac{d^2 x'}{dt'^2}=\dfrac{d}{dt}\big(\mathscr{v}_x-V_x\big)=\dfrac{d^2 x}{dt^2} \\
\dfrac{d^2 y'}{dt'^2}=\dfrac{d}{dt}\big(\mathscr{v}_y-V_y\big)=\dfrac{d^2 y}{dt^2} \\
\dfrac{d^2 z'}{dt'^2}=\dfrac{d}{dt}\big(\mathscr{v}_z-V_z\big)=\dfrac{d^2 z}{dt^2} \\
\end{array}\right.`
$
$
`\quad\Longrightarrow\quad
\left\{\begin{array}{l}
\mathscr{a}_x'=\mathscr{a}_x \\
\mathscr{a}_y'=\mathscr{a}_y \\
\mathscr{a}_z'=\mathscr{a}_z
\end{array}\right.`
$
soit en écriture vectorielle
$
`\overrightarrow{a}'=\overrightarrow{a}`
$
*Lien entre référentiels galiléens*
A partir des résultats précédents.
Soit $
`\mathscr{R}_{gal}`
$ un référentiel galiléen,
et $
`\mathscr{R}'`
$ référentiel en mouvement de translation rectiligne et uniforme
à la vitesse $
`\overrightarrow{V}_{\mathscr{R}'/\mathscr{R}_{gal}}`
$ par rapport à $
`\mathscr{R}_{gal}`
$ :
Rectiligne uniforme
$
`\Longrightarrow\overrightarrow{V}_{\mathscr{R}'/\mathscr{R}_{gal}}=\overrightarrow{cst}_1`
$.
A partir de la loi galiléenne des vitesses :
Soit un point matériel isolé $
`M`
$ donc de vitesse constante
$
`\overrightarrow{\mathscr{v}}_{M/\mathscr{R}_{gal}}=\overrightarrow{cst}_2`
$
dans le référentiel galiléen $
`\mathscr{R}_{gal}`
$.
Loi de composition galiléenne des vitesses implique :
$
`\overrightarrow{\mathscr{v}}_{M/\mathscr{R}'}=\overrightarrow{\mathscr{v}}_{M/\mathscr{R}_{gal}}
-\overrightarrow{V}_{\mathscr{R}'/\mathscr{R}_{gal}}=\overrightarrow{cst}_2-\overrightarrow{cst}_1
=\overrightarrow{cst}`
$
A partir de la loi galiléenne des accélérations :
Soit un point matériel isolé $
`M`
$ donc d'accélération nulle
$
`\overrightarrow{\mathscr{a}}_{M/\mathscr{R}_{gal}}=\overrightarrow{0}`
$
dans le référentiel galiléen $
`\mathscr{R}_{gal}`
$.
Loi de composition galiléenne des accélérations implique :
$
`\overrightarrow{\mathscr{a}}_{M/\mathscr{R}'}=\overrightarrow{\mathscr{a}}_{M/\mathscr{R}_{gal}}
=\overrightarrow{0}`
$
Conclusion :
Tout référentiel $
`\mathscr{R}'`
$ en mouvement de translation rectiligne uniforme par
rapport à un référentiel galiléen est lui-même un référentiel galiléen.
*Référentiel de Copernic*
*Référentiel terrestre = référentiel du laboratoire*
*Interaction mécanique, notion de force et de masse d'inertie*
Corpuscule, corps qui apparaît comme ponctuel (point matériel) à
l'échelle d'observation.
Dans un référentiel galiléen, l'interaction mécanique entre deux corpuscules
se traduit pour chacun des corpuscules par un écart à leur mouvement rectiligne uniforme,
donc cela se traduit par une accélération :
Dans un référentiel galiléen, corpuscule en interation
$
`\Longrightarrow\quad\overrightarrow{\mathscr{v}}\ne \overrightarrow{cst}\quad`
$
$
`\Longrightarrow\quad\overrightarrow{a}=\dfrac{d\overrightarrow{\mathscr{v}}}{dt}\ne\overrightarrow{0}`
$
Il existe plusieurs types d'interactions _(exemples : électrostatique, gravitationnelle)_.
Un corpuscule peut être sensible, plus ou moins sensible, ou pas sensible à une interaction I.
Appelons $
`\alpha`
$ la sensibilité du corpuscule à une interaction I.
_Exemples :_
\-
$
`\alpha`
$ _est la charge électrique, notée_ $
`q`
$_, pour l'interaction électrostatique,_
\-
$
`\alpha`
$ _est la masse grave, notée_ $
`m_{grave}`
$ _pour l'interaction gravitationnelle)_.
Soient un corpscule A de sensibilité $
`\alpha_A`
$ et un corpscule B de sensibilité
$
`\alpha_B`
$ à une interaction I.
Nous considérons ici le cas où les sensibilités $
`\alpha_A`
$ et $
`\alpha_B`
$ sont stationnaires.
_Exemples :_
_
\-
le corpuscule est un électron et $
`\alpha`
$ est sa charge électrique $
`q`
$ ou sa masse grave_ $
`m_{grave}`
$,
$
`\alpha`
$ _est stationnaire._
_
\-
le corpuscule est une planète et $
`\alpha`
$ est sa masse grave_ $
`m_{grave}`
$,
$
`\alpha`
$_ est stationnaire._
_Contre-exemples :_
_
\-
le corpuscule est une particule radioactive qui émet des particules alpha (noyau d'hélium),_
_et $
`\alpha`
$ est sa charge électrique $
`q`
$ ou sa masse grave_ $
`m_{grave}`
$,
$
`\alpha`
$_ est non stationnaire._
_
\-
le corpuscule est une fusée avec ses moteurs allumés, et $
`\alpha`
$ est sa masse grave_ $
`m_{grave}`
$ _de combustible,_
$
`\alpha`
$ _est non stationnaire._
Chacun des deux corpscules subit une accélération due à l'interaction I.
L'expérience montre que si l'on remplace B par un corpscule C de même sensibilité stationnaire $
`\alpha_C=\alpha_B`
$
à l'interation I, tout en ayant des positions identiques à un instant $
`t`
$ pour le corpscule A, et
les corpscules B ou C, l'accélération de C peut être différente de celle de B.
Cela montre que indépendamment de la sensibilité $
`\alpha_C=\alpha_B`
$, les comportements de ces deux
corpscules peuvent être différents vis à vis de l'interaction I. Dans une situation identique concernant
l'interaction I, ces deux corpscules B et C résistent différemment au changement de leur vecteur vitesse.
C'est le phénomène d'inertie mécanique.
Pour un corpuscule, cette propriété de résistance au changement du vecteur vitesse peut être
quantifiée par un nombre réel, et ce nombre réel reste identique quelque-soit le type d'interaction
et la mise en situation de cette interation. Cette propriété d'inertie mécanique est donc propre au corpuscule
et est quantifiée par une grandeur physique appelée masse d'inertie $
`m_{inertie}`
$.
Nécessité, dans l'expression de l'accélération du corpscule B,
de séparer l'interaction I du corpscule A sur B, et l'inertie mécanique de B.
Représentation newtonienne de l'intéraction et de l'inertie, à partir de l'accélération produite :
$
`\overrightarrow{a_B}=\dfrac{\overrightarrow{F}_{A\rightarrow B}}{m_{inertie\,B}}`
$,
avec :
$
`\overrightarrow{F}_{A\rightarrow B}`
$ force d'interaction I exercée par la particule A
sur la particule B.
$
`m_{inertie\,B}`
$ : masse d'inertie de la particule B ici supposée stationnaire.
un point "pour aller plus loin" traitant le dommaine de validité de cette observation, vitesses classiques
(par opposition à vitesses relativiste), et que devient $
`m_{inertie}`
$ dans le cas de la relativité
restreinte.
Mécanique classique, physique classique : interaction entre deux particules est représentée
par une force d'interaction. L'interaction se transmet instantanément à travers l'espace,
donc la force qu'exerce toute particule sur une autre est instantanée.
un point "pour aller plus loin" traitant du cas des relativités, de la mécanique quantique.
*Non égalité de la charge électrique et de la masse d'inertie*
L'expérience montre qu'il n'y a pas de proportionnalité entre la charge électrique et
la masse d'inertie.
En effet, il existe au moins un cas (il en existe de nombreux) ou cette non proportionnalité
est observée :
ion $
`Cu^{2+}`
$ possède une charge électrique $
`q`
$ double de celle de l'ion $
`Cu^{+}`
$
pour une masse d'inertie quasi-identique.
Charge électrique et masse d'inertie sont des grandeurs physiques de natures différentes.
*Égalité entre masse grave et masse d'inertie, question de l'identité*
Pour la totalité des corps observés, expériences et mesures montrent qu'il y a
toujours une même proportionnalité entre la masse grave et la masse inerte.
Dans un système d'unité donnée, le choix des valeurs numériques de certaines
constantes fondamentales (valeur de la constante gravitationnelle $ G
`$) a permis
de réaliser l'égalité numérique entre les valeurs de la masse grave et de la masse d'inertie.
$`
m_{grave}=m_{inertie}
`$
On pose $`
m_{grave}=m_{inertie}=m
`$ : la masse.
un point pour aller plus loin : définir les termes égalité (substituable l'un à l'autre) et identité
(une même réalité sous des points de vue différents).
Y a t-il identité de la masse grave et de la masse d'inertie ?
masse d'inertie $`
\l
eftrightarrow
`$ espace-temps (lié à une accélération)
masse grave $`
\l
eftrightarrow
`$ matière (lié à la gravitation)
Faire un lien avec relativité générale (espace-temps-matière-énergie)
*Quantité de mouvement*
quantité de mouvement $`
\o
verrightarrow{p}
`$ d'un corpuscule de masse $`
m
`$ animé dans un référentiel $`
\m
athscr{R}
`$
d'une vitesse $`
\o
verrightarrow{
\m
athscr{v}}
`$ :
$`
\o
verrightarrow{p}=m
\,\o
verrightarrow{
\m
athscr{v}}
`$
*Deuxième loi de Newton : Principe fondamental de la dynamique*
$`
\o
verrightarrow{F}=
\d
frac{d
\o
verrightarrow{p}}{dt}
`$
Pour un corpuscule de masse constante :
$`
\o
verrightarrow{F}=m
\d
frac{d
\o
verrightarrow{v}}{dt}=m
\o
verrightarrow{a}
`$
*Troisième loi de Newton : Principe de l'action et de la réaction*
Soient deux corpuscules 1 et 2 en interaction.
Les forces d’interaction F ⃗_(1→2) et F ⃗_(2→1) sont opposées :
$`
\o
verrightarrow{f}_{1
\r
ightarrow 2}=-
\o
verrightarrow{f}_{2
\r
ightarrow 1}
`$
*Les différents types de forces*
Force à distance, due à une interaction fondamentale.
Force de contact :
\- de réaction d'un support
\- de frottement (solide, visqueux).
Forces d'inertie (d'accélération et de Coriolis),
lorsque le mouvement est observé depuis un référentiel non galiléen.
*Principe de superposition*
Soient un corpuscule i de sensibilité $`
\a
lpha_i
`$ et un corpuscule j de sensibilité
$`
\a
lpha_j
`$ à une interaction I.
Soit $`
\o
verrightarrow{F}_{i
\r
ightarrow j}(
\a
lpha_i,
\a
lpha_j)
`$ la force qu'exerce
le corpuscule i sur le corpuscule j.
Le principe de superposition postule que l'expression de force d'interaction de
du corpuscule i sur le corpuscule j reste inchangée qu'il y aient ou non d'autres
corpuscules sensibles à la même interaction dans le voisinage de i et j.
La force totale d'interaction qu'exercent N corpuscules sur un corpuscule j peut ainsi
s'exprimer et se calculer simplement comme la somme des forces d'interaction "deux à deux"
qu'exercent chacun des N corpuscules sur j :
$`
\o
verrightarrow{F}_{tot
\r
ightarrow j}=
\d
isplaystyle
\s
um_{i=1}^N
\o
verrightarrow{F}_{i
\r
ightarrow j}
`$
Écriture plus générale :
La force totale $`
\o
verrightarrow{F}_{totale}
`$ exercée sur un corpscule de masse $`
m
`$ et
de quantité de mouvement $`
\o
verrightarrow{p}=m
\o
verrightarrow{v}
`$ conduit
la variation de quantité de mouvement $`
\d
frac{d
\o
verrightarrow{p}}{dt}
`$ suivant l'expression :
$`
\d
isplaystyle
\b
egin{align}
&
\o
verrightarrow{F}_{totale}
\\
\\
&\;
=
\s
um
\o
verrightarrow{F}_{qui
\
s'appliquent}
\\
\\
&\;
=
\u
nderbrace{
\s
um
\o
verrightarrow{F}_{à
\
distance}}_{inter.
\
fondamentales}
+
\u
nderbrace{
\s
um
\o
verrightarrow{F}_{de
\
contact}}_{frottements,
\
réactions}
+
\u
nderbrace{
\s
um
\o
verrightarrow{F}_{d'inertie}}_{si
\
réf.
\
non
\,
galiléens}
\\
\\
&\;
=
\d
frac{d
\o
verrightarrow{p}}{dt}
\\
\\
&\;
=
\d
frac{d
\b
ig(m
\o
verrightarrow{v}
\b
ig)}{dt}
\\
\\
&\;
=m
\,\o
verrightarrow{a}+
\u
nderbrace{
\d
frac{dm}{dt}
\c
dot
\o
verrightarrow{v}}_{si
\
m
\
non
\
constante}
\e
nd{align}
`$
De par la règle mathématique de sommation des vecteurs, ce postulat justifie de modéliser les interactions
entre corpuscules par les grandeurs vectorielles que sont les forces.
Ce postulat ne reflète pas une réalité physique évidente. De fait dans certains cas extrêmes observés dans
l'univers, l'interaction gravitationnelle d'un corps i sur un corps j est perturbée par la présence d'un troisième corps au
voisinage des deux premiers. Le modèle physique de la relativité générale tient compte de ce fait, ce qui explique
la complexité de la mathématique qu'elle utilise. Chaque corps massique déforme l'espace-temps autour de lui.
Les mouvements liés des deux corps i et j sont des géodésiques dans l'espace-temps déformé par les deux corps eux-mêmes.
La présence d'un troisième corps ajoute sa contribution à la déformation de l'espace-temps. Il ne serait pas possible
de de modéliser les mouvements des trois corps prédits par la relativité générale à l'aide d'un modèle vectoriel.
(donner référence).
*Loi de conservation de la quantité de mouvement*
Soit un système isolé de N corpuscules.
Force qu'exerce un corpscule quelconque j sur lui-même est nul : $`
\o
verrightarrow{F}_{j
\r
ightarrow j}=
\o
verrightarrow{0}
`$
Force totale $`
\o
verrightarrow{F}_{tot
\r
ightarrow j}
`$ qu'exerce les N-1 autres corpscules sur un corpuscule j du système :
$`
\o
verrightarrow{F}_{tot
\r
ightarrow j}=
\d
isplaystyle
\s
um_{i=1}^N
\o
verrightarrow{F}_{i
\r
ightarrow j}
=
\s
um_{i=1}^N
\d
frac{d
\o
verrightarrow{p}_{i
\r
ightarrow j}}{dt}
`$
$`
\;
=
\d
frac{
\s
um_{i=1}^N d
\o
verrightarrow{p}_{i
\r
ightarrow j}}{dt}
=
\d
frac{d
\o
verrightarrow{p}_{tot
\r
ightarrow j}}{dt}
`$
Quantité de mouvement totale du système isolé des N corpuscules est la somme
des quantités de mouvement de ses N corpuscules :
$`
\d
isplaystyle
\o
verrightarrow{p}_{sys.iso}=
\s
um_{i=1}^N
\o
verrightarrow{p}_{tot
\r
ightarrow j}
=
\s
um_{i=1}^N
\s
um_{j=1}^N
\o
verrightarrow{p}_{i
\r
ightarrow j}
`$
Dérivée temporelle de la quantité de mouvement totale du système isolé :
$`
\d
isplaystyle
\b
egin{align}
\d
frac{d
\o
verrightarrow{p}_{sys.iso}}{dt}&=
\d
frac{d
\b
ig(
\s
um_{i=1}^N
\s
um_{j=1}^N
\o
verrightarrow{p}_{i
\r
ightarrow j}
\b
ig)}{dt}
\\
\\
&=
\s
um_{i=1}^N
\s
um_{j=1}^N
\d
frac{d
\o
verrightarrow{p}_{i
\r
ightarrow j}}{dt}
\\
\\
&=
\s
um_{i=1}^N
\s
um_{j=1}^N
\o
verrightarrow{F}_{i
\r
ightarrow j}
\\
\\
&=
\s
um_{i=1}^N
\o
verrightarrow{F}_{i
\r
ightarrow i}
+
\s
um_{i=2}^N
\s
um_{j=1}^{(i-1)}
\o
verrightarrow{F}_{i
\r
ightarrow j}
+
\s
um_{j=2}^N
\s
um_{i=1}^{(j-1)}
\o
verrightarrow{F}_{i
\r
ightarrow j}
\\
\\
&=
\s
um_{i=1}^N
\u
nderbrace{
\o
verrightarrow{F}_{i
\r
ightarrow i}}_{=
\,
0}
+
\s
um_{i=2}^N
\s
um_{j=1}^{(i-1)}
\u
nderbrace{
\b
ig(
\o
verrightarrow{F}_{i
\r
ightarrow j}
+
\o
verrightarrow{F}_{j
\r
ightarrow i}
\b
ig)}_{=
\,
0
\,
(action-réaction)}
\\
\\
&=0
\e
nd{align}
`$
La quantité de mouvement d’un système de N particules isolées
est stationnaire (ne varie pas dans le temps).
##### Résolutions comparées de problèmes<br>_Mécaniques newtonienne, lagrangienne, hamiltonienne_
Ici résolution newtonienne
*Lancé balistique sans frottement*
*Oscillateur harmonique simple*
Référentiel terrestre $`
\m
athscr{R}_{terrestre}
`$ supposé galiléen.
Masse suspendue par un fil non extensible de longueur $`
\m
athscr{l}
`$, de masse négligeable et d'extrémité fixe située en un point O.
Décrivons le mouvement du pendule lorsque le fil reste tendu.
Le mouvement est plan (démontrer).
Corps M quasi-ponctuel de masse $`
m
`$ se déplace dans un plan vertical.
Choix du système de coordonnées cartésiennes fixe dans $`
\m
athscr{R}_{terrestre}
`$ :
$`
(O,
\,
x,
\,
z)
`$ tel que
$`
(xOz)
`$ est le plan du mouvement,
$`
Oz
`$ est l'axe vertical,
$`
Ox
`$ est l'axe horizontale (d'orientation gauche vers droite)
Repère cartésien associé $`
\b
ig(O,
\,\o
verrightarrow{e_x},
\,\o
verrightarrow{e_z}
\b
ig)
`$.
Repère fixe $`
\L
ongrightarrow
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_x}}{dt}=
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_z}}{dt}=
\o
verrightarrow{0}
``$
Système de coordonnées adapté :
Coordonnées polaires $`
(
\r
ho,
\,\t
heta)
`$ définies à partir de $`
(O,
\,
x,
\,
z)
`$.
définies à partir des coordonnées cartésiennes $`
(O,
\,
x,
\,
z)
`$.
Base orthonormée associée $`
\b
ig(
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}},
\,\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}})
`$
Rappel coordonnées polaires (outil-math coordonnées pourra être affiché en parallèle) :
(à mettre dans coordonnées polaires)
$`
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}=
\;\;\,\c
os
\t
heta
\;\o
verrightarrow{e_x}+
\s
in
\t
heta
\;\o
verrightarrow{e_z}
`$
$`
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}=-
\s
in
\t
heta
\;\o
verrightarrow{e_x}+
\c
os
\t
heta
\;\o
verrightarrow{e_z}
`$
------------------------
$`
\b
egin{align}
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}}{dt}
&=\dfrac{d}{dt}\bigg(\cos\theta\;
\overrightarrow{e_x}+\sin\theta\;
\o
verrightarrow{e_z}
\b
igg)
\\
\\
&=\bigg[\dfrac{d\cos\theta}{dt}\;
\o
verrightarrow{e_x} +
\s
in
\t
heta
\;\u
nderbrace{
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_z}}{dt}}_{=
\,\v
ec{0}}
\b
igg]
\\
&\quad\quad+\bigg[\dfrac{d(-\sin\theta)}{dt}\;
\overrightarrow{e_z}+\cos\theta\;
\u
nderbrace{
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_z}}{dt}}_{=
\,\v
ec{0}}
\b
igg]
\\
\\
&=\dfrac{d\cos\theta}{d\theta}\;
\dfrac{d\theta}{dt}\;
\o
verrightarrow{e_x}
+
\d
frac{d(-
\s
in
\t
heta)}{d
\t
heta}
\;\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\;\o
verrightarrow{e_z}
\\
\\
&=\dfrac{d\theta}{dt}\;
\big(-\sin\theta\;\overrightarrow{e_x}+\cos\theta\;
\o
verrightarrow{e_z}
\b
ig)
\\
\\
&=\dfrac{d\theta}{dt}\;
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
\e
nd{align}
`$
Note : Dans le cas général, on évite d'écrire $`
\d
frac{d
\t
heta}{dt}=
\o
mega
`$ où $`
\o
mega
`$
est la pulsation d'unité SI $`
rad
\,
s-{-1}
`$.
L'écriture $`
\d
frac{d
\t
heta}{dt}=
\o
mega
`$ est réservée au cas où la variation temporelle de
l'angle $`
\t
heta
`$ a une composante sinusoïdale de pulsation $`
\o
mega
`$ stationnaire.
--------------
$`
\b
egin{align}
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}}{dt}
&=\dfrac{d}{dt}\big(-\sin\theta\;
\overrightarrow{e_x}+\cos\theta\;
\o
verrightarrow{e_z}
\b
ig)
\\
\\
&=\bigg[\dfrac{d(-\sin\theta)}{dt}\;
\o
verrightarrow{e_x} -
\s
in
\t
heta
\;\u
nderbrace{
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_z}}{dt}}_{=
\,\v
ec{0}}
\b
igg]
\\
&\quad\quad+\bigg[\dfrac{d\cos\theta}{dt}\;
\overrightarrow{e_z}+\cos\theta\;
\u
nderbrace{
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_z}}{dt}}_{=
\,\v
ec{0}}
\b
igg]
\\
\\
&=\dfrac{d(-\sin\theta)}{d\theta}\;
\dfrac{d\theta}{dt}\;
\o
verrightarrow{e_x}
+
\d
frac{d
\c
os
\t
heta}{d
\t
heta}
\;\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\;\o
verrightarrow{e_z}
\\
\\
&=\dfrac{d\theta}{dt}\;
\Big(-\cos\theta\;\overrightarrow{e_x}-\sin\theta\;
\o
verrightarrow{e_z}
\B
ig)
\\
\\
&=-\;
\dfrac{d\theta}{dt}\;
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
\e
nd{align}
`$
Attention : erreur très courante de confondre en passant d'une ligne à l'autre dans les calculs
$`
\d
frac{d^2
\t
heta}{dt^2}
`$ et $`
\l
eft(
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\r
ight)^2
`$.
---------------
$`
\b
egin{align}
\d
frac{d^2
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}}{dt^2}&=
\d
frac{d}{dt}
\b
igg(
\u
nderbrace{
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}}{dt}}_{=
\,\f
rac{d
\t
heta}{dt}
\,\v
ec{e_{
\t
heta}}}
\b
igg)
\\
\\
&=
\d
frac{d}{dt}
\l
eft(
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\,\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
\r
ight)
\\
\\
&=\dfrac{d^2\theta}{dt^2}\;
\overrightarrow{e_{\theta}}\;+\;\dfrac{d\theta}{dt}\;
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}}{dt}
\\
\\
&=\dfrac{d^2\theta}{dt^2}\;
\overrightarrow{e_{\theta}}\;+\;\dfrac{d\theta}{dt}\;\left(-\,\dfrac{d\theta}{dt}\;
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
\r
ight)
\\
\\
&=\dfrac{d^2\theta}{dt^2}\;
\overrightarrow{e_{\theta}}\;-\;\left(\dfrac{d\theta}{dt}\right)^2\;
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
\e
nd{align}
`$
---------------
$`
\b
egin{align}
\d
frac{d^2
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}}{dt^2}
&=
\d
frac{d}{dt}
\b
igg(
\u
nderbrace{
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}}{dt}}_{=-
\f
rac{d
\t
heta}{dt}
\,\v
ec{e_{
\r
ho}}}
\b
igg)
\\
\\
&=
\d
frac{d}{dt}
\l
eft(-
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\,\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
\r
ight)
\\
\\
&=-\dfrac{d^2\theta}{dt^2}\;
\overrightarrow{e_{\rho}}\;-\;\dfrac{d\theta}{dt}\;
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}}{dt}
\\
\\
&=-\dfrac{d^2\theta}{dt^2}\;
\overrightarrow{e_{\rho}}\;-\;\dfrac{d\theta}{dt}\;\left(\dfrac{d\theta}{dt}\;
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
\r
ight)
\\
\\
&=\dfrac{d^2\theta}{dt^2}\;
\overrightarrow{e_{\rho}}\;-\;\left(\dfrac{d\theta}{dt}\right)^2\;
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
\e
nd{align}
`$
----------------
Écriture générale du mouvement du pendule :
$`
\o
verrightarrow{OM}=
\m
athscr{l}
\;\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
`$
$`
\b
egin{align}
\o
verrightarrow{
\m
athscr{v}_M}&=
\d
frac{d
\o
verrightarrow{OM}}{dt}
\\
\\
&=\dfrac{d}{dt}\big(\mathscr{l}\;
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
\b
ig)
\\
\\
&=\underbrace{\dfrac{d\mathscr{l}}{dt}}_{=\,0}\;
\overrightarrow{e_{\rho}}\;+\;\mathscr{l}\;
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}}{dt}
\\
\\
&=\mathscr{l}\;
\dfrac{d\theta}{dt}\;
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
\e
nd{align}
`$
$`
\b
egin{align}
\o
verrightarrow{a_M}&=
\d
frac{d
\o
verrightarrow{
\m
athscr{v}_M}}{dt}
\\
\\
&=\dfrac{d}{dt}\left(\mathscr{l}\;
\dfrac{d\theta}{dt}\;
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
\r
ight)
\\
\\
&=\underbrace{\dfrac{d\mathscr{l}}{dt}}_{=\,0}\;
\dfrac{d\theta}{dt}\;\overrightarrow{e_{\theta}}\;
+
\;\m
athscr{l}
\;\d
frac{d^2
\t
heta}{dt^2}
\;\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
\;
+
\;\m
athscr{l}
\;\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\;\u
nderbrace{
\d
frac{d
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}}{dt}}_{=
\,
-
\f
rac{d
\t
heta}{dt}
\,\v
ec{e_{
\r
ho}}}
\\
\\
&=\mathscr{l}\;
\dfrac{d^2\theta}{dt^2}\;\overrightarrow{e_{\theta}}\;-\;\mathscr{l}\;
\l
eft(
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\r
ight)^2
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
\e
nd{align}
`$
Identification et écriture de toutes les forces qui s'appliquent sur le pendule :
Poids $`
\o
verrightarrow{P}
`$ du corps M :
Note : le poids qui s'applique sur M est la somme de la force à distance qu'exerce la gravitation
et des forces d'inertie (accélération et Coriolis) dues au fait que le référentiel terrestre n'est pas
strictement galiléen. Le considérer comme référentiel galiléen signifie que l'effet des forces d"inertie
oeut être négligé devant la précision de mesure des longueurs vitesses et accélérations et devant la durée
de l'observation du pendule.
Le pendule de Foucault est la même expérience, mais dont la durée d'observation est telle que la rotation
du plan de déplacement de M est mise en évidence.
$`
\b
egin{align}
\o
verrightarrow{P}&=-
\,
m
\,
g
\,\o
verrightarrow{e_z}
\\
\\
&=\,m\,g\,\big(\cos\theta\;
\overrightarrow{e_{\rho}}-\sin\theta\;
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
\b
ig)
\\
\\
&=\,m\,g\,\cos\theta\;
\overrightarrow{e_{\rho}}-\,m\,g\,\sin\theta\;
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
\e
nd{align}
`$
Réaction du fil tendu sur le corps en M (force de contact) :
$`
\o
verrightarrow{R}=-R
\;\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
`$
La force totale qui s'applique sur la masse du pendule est :
$`
\o
verrightarrow{F}_{totale}=
\o
verrightarrow{P}+
\o
verrightarrow{R}
`$
Cette étude n'ayant pour objectif que de déterminer le mouvement du pendule dans
le cas où le fil reste tendu, le mouvement du corps M restera inscrit dans le cercle
de rayon $`
\r
ho=
\m
athscr{l}
`$. Ainsi en tout point de la trajectoire et à tout instant
les vecteurs $`
\o
verrightarrow{d
\m
athscr{l}}
\t
ext{, }
\o
verrightarrow{
\m
athscr{v}}
\t
ext{, }
\o
verrightarrow{a}
`$
resteront parallèles à $`
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
`$.
Pour trouver l'équation différentielle du mouvement,la projection de la deuxième loi de Newton
sur $`
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
`$ suffit :
La masse du corps M est constante.
$`
m
\;\o
verrightarrow{a_M}
\c
dot
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}=
\o
verrightarrow{F}_{totale}
\c
dot
\o
verrightarrow{e_{
\t
heta}}
`$
$`
\L
ongrightarrow
\q
uad m
\;\m
athscr{l}
\;\d
frac{d^2
\t
heta}{dt^2}=-
\,
m
\,
g
\,\s
in
\t
heta
`$
$`
\L
ongrightarrow
\q
uad
\m
athscr{l}
\;\d
frac{d^2
\t
heta}{dt^2}
\;
+
\;
g
\,\s
in
\t
heta=0
`$
_(Exercice suivant à proposer : "en deça de quelle valeur doit rester la vitesse initiale (suivant la position initiale)_
_pour que le fil reste tendu ?".)_
En première approche, cette équation différentielle se simplifie si on limite l'étude au cas où
l'angle $`
\t
heta
`$ reste suffisamment petit tout au long de la trajectoire, pour que l'approximation
$`
\s
in
\t
heta
\a
pprox
\t
heta
\;
(rad)
`$ soit acceptable.
Dans ce cas l'équation du mouvement devient
$`
\L
ongrightarrow
\q
uad
\m
athscr{l}
\;\d
frac{d^2
\t
heta}{dt^2}
\;
+
\;
g
\,\t
heta=0
`$ avec $`
\t
heta
`$ exprimé en radian.
Cette équation différentielle admet pour solution générale
$`
\t
heta(t)=A
\,\c
os(
\o
mega_0 t)
\;
+
\;
B
\,\s
in(
\o
mega_0 t)
\q
uad
`$_(eq.1)_, avec $`
\o
mega_0=
\s
qrt{
\d
frac{g}{l}}
`$
avec $`
A
`$ et $`
B
`$ des constantes.
Nous en déduisons l'équation générale de la vitesse angulaire :
$`
\l
eft.
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\r
ight
\l
vert_{t}=-
\,
A
\,\o
mega_0
\,\s
in(
\o
mega_0 t)
\;
+
\;
B
\o
mega_0
\,\c
os(
\o
mega_0 t)
\q
uad
`$_(eq.2)_
_Idée : Proposer pour cette page d'exercice d'application de la dynamique un mode OUTIL-MATH avec en parallèle_
_les coordonnées cylindriques, et les équations différentielles._
L'équation particulière correspondant à une mise en mouvement du pendule nécessite de préciser des conditions initiales,
c'est à dire la position $`
\t
heta (t=0)
`$ et la vitesse angulaire $`
\l
eft.
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\r
ight
\l
vert_{t=0}
`$ ou linéaire
$`
\m
athscr{v}(t=0)=
\m
athscr{l}
\;\l
eft.
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\r
ight
\l
vert_{t=0}
`$ à l'origine choisie sur l'axe du temps.
_Important (source d'erreurs fréquantes) : rappeler (inlassablement ...) la définition géomatrique d'un angle_
_donc exprimé en radian, et comment en déduire la relation entre vitesse linéaire et vitesse angulaire._
Par exemple les conditions initiales (lacher sans vitesse initiale à $`
t=0
`$)
$`
\t
heta (t=0)=
\t
heta_0
\;\t
ext{(rad)}
`$
$`
\l
eft.
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\r
ight
\l
vert_{t=0}=0
`$
appliquées aux équations _eq.1_ et _eq.2_ conduisent à :
$`
\t
heta(t_0)=
\t
heta_0=A
`$
$`
\l
eft.
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\r
ight
\l
vert_{t=0}=0=B
\o
mega_0
`$
ce qui permet d'écrire la solution particulière correspondante :
$`
\t
heta(t) =
\t
heta_0
\,\c
os(
\o
mega_0 t)=
\t
heta_{(t=0)}
\t
imes
\c
os
\l
eft(t
\s
qrt{
\d
frac{g}{
\m
athscr{l}}}
\r
ight)
`$
d'où l'on déduit
$`
\b
egin{align}
\l
eft.
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\r
ight
\l
vert_{t} &= -
\,\o
mega_0
\,\t
heta_0
\,\s
in(
\o
mega_0 t)
\\
&= -
\,\t
heta_{(t=0)}
\t
imes
\s
qrt{
\d
frac{g}{
\m
athscr{l}}}
\t
imes
\s
in
\l
eft(t
\s
qrt{
\d
frac{g}{
\m
athscr{l}}}
\r
ight)
\e
nd{align}
`$
Les fonctions $`
\c
os
`$ et $`
\s
in
`$ étant périodique de période $`
2
\p
i
`$,
le mouvement est périodique de période $`
T
`$ tel que :
$`
\c
os
\l
eft(t
\s
qrt{
\d
frac{g}{
\m
athscr{l}}}
\r
ight)=
\c
os
\l
eft(t
\s
qrt{
\d
frac{g}{
\m
athscr{l}}}+2
\p
i
\r
ight)
=
\c
os
\l
eft((t+T)
\,\s
qrt{
\d
frac{g}{
\m
athscr{l}}}
\r
ight)
`$
soit
$`
t
\s
qrt{
\d
frac{g}{
\m
athscr{l}}}+T
\s
qrt{
\d
frac{g}{
\m
athscr{l}}}=t
\s
qrt{
\d
frac{g}{
\m
athscr{l}}}+2
\p
i
`$
$`
\L
ongrightarrow T=2
\p
i
\,\s
qrt{
\d
frac{
\m
athscr{l}}{g}}
`$
_Exercice à reprendre pour montrer la trajectoire dans le chapitre espace des phases, puis reprendre_
_en macanique lagrangienne, et autre... pour des modes en affichage parallèle._
Le corps du pendule peut se détacher du fil ou le fil peut se rompre si la force $`
\o
verrightarrow{R}
`$ est trop forte.
$`
\o
verrightarrow{R}
`$ ayant une composante dépendante du mouvement (projection des forces d'inertie sur $`
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
`$),
Il peut être utile d'exprimer $`
\o
verrightarrow{R}
`$ en fonction des caractéristiques du mouvement à chaque instant.
Pour cela, projetons la deuxième loi de Newton sur $`
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
`$ :
$`
m
\;\o
verrightarrow{a_M}
\c
dot
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}=
\o
verrightarrow{F}_{totale}
\c
dot
\o
verrightarrow{e_{
\r
ho}}
`$
$`
\L
ongrightarrow
\q
uad -m
\;\;\m
athscr{l}
\;\l
eft(
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\r
ight)^2=m
\,
g
\,\c
os
\t
heta-R
`$
$`
\L
ongrightarrow
\q
uad R=m
\,
g
\,\c
os
\t
heta
\;
+
\;
m
\,\m
athscr{l}
\;\l
eft(
\d
frac{d
\t
heta}{dt}
\r
ight)^2
`
$
_dynamique puis énergétique (énergie mécanique)_
*Lois de Kepler*
*Particule dans un champ électromagnétique stationnaire*
*Autres ?*
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