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@@ -124,7 +124,7 @@ et reste bien immobile, le marin déroule la corde de façon à ce que la corde
 * Le **marin compte alors le nombre de flotteurs** espacés de $`\Delta l`$ qu'il déroule
 *sur un intervalle de temps $`\Delta t`$*.   
 
-* Le marin *en déduit la vitesse du bateau*.    
+* Le **marin** en *déduit la vitesse du bateau* $`\mathscr{v}= \dfrac{\Delta l}{\Delta t}`$.    
 
 !!! *Exemple :*.  
 !!! S'il compte soixante unité de longueur sur une durée de trois minute, il en déduit que la vitesse
@@ -137,12 +137,15 @@ et reste bien immobile, le marin déroule la corde de façon à ce que la corde
 
 ##### Mais impossible ...
 
-Le principale problème pour appliquer cette procédure aux ondes lumineuses est que l'éther,
-milieu de propagation supposée de la lumière, ne s'oppose pas, ne freine pas les corps matériels,
-comme le montre la stabilité des orbites planétaires autour du soleil, stabilité qui permet de
-prédire la position d'une planète des années à l'avance avec la mécanique classique. Ainsi dans
-une expérience analogue à celle décrite ci-dessus mais appliquée aux ondes lumineuses, le corps
-matériel jeté jouant le rôle de la bouée ne serait pas freiné. 
+Cette procédure ne peut pas s'appliquer aux ondes lumineuses, en effet :
+
+* L'**éther**, milieu de propagation supposée de la lumière, *ne s'oppose pas au mouvement des corps* matériels,
+comme le montre la stabilité des orbites planétaires autour du soleil.   
+<br>
+La **mécanique classique prédit la position des planètes** sans qu'*aucune force de freinage* ne s'appliquent sur elles.
+.
+* Ainsi dans une expérience analogue appliquée aux ondes lumineuses, le 
+**corps matériel dans rôle de la bouée** ne serait *pas freiné*. 
 _à faire, lien avec le mouvement rectiligne uniforme dans un référentiel galiléen en mécanique classique._
 
 <br>